0

Gun avec rond .jpg
Pop up identification arme

Les spécificités de l'arme du crime

Les spécificités de l'arme du crime

Culasse à genouillère : mécanisme spécifique

pour charger l'arme

Bouton de prévention quadrillé

Pédale de sûreté qui doit être actionnée pour pouvoir tirer

«P», de «Private» :

marque le déclassement de l'arme, lorsque le soldat prend sa retraite

Chargeur de 8 cartouches
de calibre 7,65mm

Cran de sûreté

Culasse à genouillère: mécanisme pour charger l'arme

Bouton

de prévention quadrillé

Pédale de sûreté:

doit être actionnée

pour pouvoir tirer

«P», de «Private»:

marque le déclassement de l'arme, lorsque le soldat prend sa retraite

Chargeur de 8 cartouches
de calibre 7,65mm

Cran de sûreté

En 1896, la Deutsche Waffen-Und Munitionsfabriken, une fabrique d’arme berlinoise, subit un échec. Son arme de poing, le C 93, ne se vend qu’à 3000 exemplaires.

Des recherches s’organisent pour créer un nouveau prototype. L’ingénieur Georges Luger prend en charge le projet. Il s’inspire du système à genouillère. Un mécanisme qui permet

à l’arme de passer d’une balle à l’autre grâce à la force de recul du tir. Il conçoit une arme semi-automatique, à huit coups en 7,65mm, avec un canon long et précis. Les premiers modèles sortent sous le nom de « Borchardt-Luger », en association avec le nom de l’ancien ingénieur. Les essais suisses sont menés entre 1898 et 1899. L’arme est définitivement adoptée un an plus tard sous le nom de Parabellum modèle 1900, calibre 7,65mm.

 

Appelée « Luger » aux États-Unis, elle prend son nom de « Parabellum »,

d’après la locution latine : « Si vis pacem, para bellum », soit « Qui veut la paix, prépare

la guerre ». L’arme est améliorée une première fois en 1906 puis prend le nom de P06/29, en 1929. La fabrication se déplace à Berne et son coût d’usinage est réduit. La production

du P06 est estimée à 60 000 exemplaires, dont 45 000 P06/29.

En 1949, l’arme est remplacée par le Pistole 210.

Arme de poing semi-automatique, le Parabellum P 06 est le pistolet utilisé par le tueur de Chevaline. Une arme de collection suisse datant du début du XXe siècle, plutôt rare sur les scènes de crime.

Arme de poing semi-automatique,

le Parabellum P 06 est le pistolet utilisé par le tueur de Chevaline.

Une arme de collection suisse datant du début du XXe siècle,

plutôt rare sur les scènes de crime.

En 1896, la Deutsche Waffen-Und Munitionsfabriken, une fabrique d’arme berlinoise, subit un échec. Son arme de poing, le C 93, ne se vend qu’à 3 000 exemplaires. Des recherches s’organisent pour créer un nouveau prototype. L’ingénieur Georges Luger prend en charge le projet. Il s’inspire

du système à genouillère.

Un mécanisme qui permet à l’arme de passer d’une balle à l’autre grâce à

la force de recul du tir. Il conçoit

une arme semi-automatique, à huit coups en 7,65mm, avec un canon long et précis. Les premiers modèles sortent sous  le nom de « Borchardt-Luger », en association avec le nom de l’ancien ingénieur. Les essais suisses sont menés entre 1898 et 1899.

L’arme est définitivement adoptée un an plus tard sous le nom de Parabellum modèle 1900, calibre 7,65mm.

 

Appelée « Luger » aux États-Unis,

elle prend son nom de « Parabellum », d’après la locution latine : « Si vis pacem, para bellum », soit « Qui veut la paix, prépare la guerre ». L’arme est améliorée une première fois en 1906 puis prend le nom de P 06/29, en 1929. La fabrication se déplace à Berne et son coût d’usinage est réduit. La production du P06 est estimée à 60 000 exemplaires, dont 45 000 P 06/29. En 1949, l’arme est remplacée par le Pistole 210.