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Neuf jours après la tuerie, William Brett Martin, le cycliste anglais qui a découvert les corps de la famille al-Hilli et de Sylvain Mollier, est interviewé par la BBC.

 

« Au début, j’ai cru qu’il s’agissait d’un accident de la route », confie-t-il. Il se rend compte qu’il assiste à une scène de crime, qu’il décrit comme « une scène de la série les Experts ou un film hollywoodien […] J'ai alors pensé à un fou qui rôdait dans la forêt pour tuer tout le monde. Je me disais que je pouvais être le suivant sur la liste. Mais il n'y avait personne. »

 

William Brett Martin découvre alors Zainab, l’une des deux petites filles, qui tombe, inconsciente, à ses pieds. Arrivé à la voiture criblée de balles, il découvre la scène de crime. Il ne dispose pas de réseau sur son portable. Il décide de redescendre pour trouver de l’aide. Il croise une voiture et demande au conducteur d’appeler les secours. Désormais, cet ancien pilote de ligne veut juste « savoir, comme tout le monde, ce qu’il s’est passé », à Chevaline.

 

Le cycliste anglais témoigne

Le cycliste anglais témoigne

Neuf jours après la tuerie, William Brett Martin, le cycliste anglais qui a découvert les corps de la famille al-Hilli et de Sylvain Mollier, est interviewé par la BBC.


« Au début, j’ai cru qu’il s’agissait d’un accident de la route », confie-t-il. Il se rend compte qu’il assiste à une scène de crime, qu’il décrit comme « une scène de la série les Experts ou un film hollywoodien […] J'ai alors pensé à un fou qui rôdait dans la forêt pour tuer tout le monde. Je me disais que je pouvais être le suivant sur la liste. Mais il n'y avait personne. »

 

William Brett Martin découvre alors Zainab, l’une des deux petites filles, qui tombe, inconsciente, à ses pieds. Arrivé à la voiture criblée de balles, il découvre la scène de crime. Il ne dispose pas de réseau sur son portable. Il décide de redescendre pour trouver de l’aide. Il croise une voiture et demande au conducteur d’appeler les secours. Désormais, cet ancien pilote de ligne veut juste « savoir, comme tout le monde, ce qu’il s’est passé », à Chevaline.