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Au lendemain de la tuerie de Chevaline, les enquêteurs ainsi que

les médias se sont penchés sur le profil de Sylvain Mollier. Le cycliste

de 45 ans, retrouvé mort sur le parking du Martinet, est la seule victime française du massacre. Employé dans une usine de la région et père de famille, il a tout d’un homme sans histoire.

 

Dans un reportage de l’AFP datant de septembre 2012 à Ugine (Savoie), village où vivait Sylvain Mollier, son entourage témoigne. Un de ses collègues de l’usine Cézus, dans laquelle il travaillait, rapporte au lendemain du meurtre : « Ses collègues proches sont affectés et tout le monde parle de l’affaire. » Toujours dans ce reportage, le portrait dressé par les habitants d’Ugine est celui d’un homme discret, vivant dans « une grande maison blanche au coeur du bourg » avec sa famille.

 

Passionné de vélo

 

Dans le village, il était notamment connu pour son amour du cyclisme. Passion sportive transmise par son père, bénévole au club

de rugby du village. Lorsque son chemin a croisé celui du tueur

le 5 septembre 2012, il venait de prendre un congé paternité. Ce jour-là,

il avait décidé d’effectuer une de ses habituelles promenades à vélo.

 

Père de deux garçons d’un précédent mariage, il venait d’avoir un nouvel enfant avec sa compagne. Ce portrait d’un homme sans histoire a poussé les gendarmes de la section de recherches de Chambéry à fouiller son passé, à la recherche d’une potentielle double-vie ou de tout ce qui pourrait être exploitable pour faire avancer l’enquête.

Le cycliste abattu,

un père de famille sans histoire

Le cycliste abattu,

un père

de famille sans histoire

Sylvain Mollier a été assassiné le 5 septembre 2012 alors qu’il

se promenait à vélo.

Ce père de famille, âgé de 45 ans, avait trois enfants.

Au lendemain de la tuerie de Chevaline, les enquêteurs ainsi que les médias se sont penchés sur le profil de Sylvain Mollier.

Le cycliste de 45 ans, retrouvé mort sur le parking du Martinet, est la seule victime française du massacre. Il a tout d’un homme sans histoire : employé dans une usine de la région et père de famille.

 

Dans un reportage de l’AFP datant de septembre 2012 à Ugine (Savoie), village où vivait Sylvain Mollier, son entourage témoigne. Un de ses collègues de l’usine Cézus, dans laquelle il travaillait, rapporte au lendemain du

meurtre : « Ses collègues proches sont affectés et tout le monde parle de l’affaire. » Toujours dans ce reportage, le portrait dressé par les habitants d’Ugine est celui d’un homme discret, vivant dans « une grande maison blanche au coeur

du bourg » avec sa famille.

 

Passionné de vélo

 

Dans le village, il était notamment connu pour son amour du cyclisme. Passion sportive transmise par son père, bénévole au club de rugby du village. Lorsque son chemin a croisé celui du tueur le 5 septembre 2012, il venait de prendre un congé paternité.

Ce jour-là, il avait décidé d’effectuer une de ses habituelles promenades à vélo. Père de deux garçons d’un précédent mariage,

il venait d’avoir un nouvel enfant avec sa compagne. Ce portrait

d’un homme sans histoire a poussé les gendarmes de la section

de recherches de Chambéry à fouiller son passé, à la recherche d’une potentielle double-vie ou de tout ce qui pourrait être exploitable pour faire avancer l’enquête.

Sylvain Mollier a été assassiné le 5 septembre 2012 alors qu’il se promenait à vélo. Ce père de famille, âgé de 45 ans, avait trois enfants.