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Les premiers gendarmes arrivés sur place, non formés en police criminelle, font rapidement appel aux techniciens en identification criminelle (TIC) départementaux. C’est ce que nous apprend Philippe Esperança,

expert criminalistique et ancien gendarme de l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN).

 

 

Les TIC locaux entament le dégel de la scène de crime. Mais après leurs premières constatations, ils se rendent compte de la complexité du massacre. Par manque de temps et manque de personnels compétents pour passer au crible la scène, les experts demandent du renfort.

Le procureur de l’époque Eric Maillaud demande donc l’aide de l’IRCGN.

 

 

Installés en région parisienne, l’Institut dispose de plus de matériels spécifiques et adaptés. Selon un article de Libération, trois TIC ont alors été héliportés sur les lieux à 22 heures, soit six heures après la découverte du massacre. Ces derniers ont immédiatement ont poursuivi le dégel de la scène de crime et référencé tous les indices laissés sur place.

 

 

Pour Philippe Esperança, la grande leçon à retenir de Chevaline est avant tout de vérifier l’état des victimes et de porter secours si besoin.
Ce qui n’a pas été le cas à Chevaline par peur de polluer la scène.

« Porter secours est l’énorme priorité avant même l’analyse criminalistique. Cette analyse a pris tellement d’ampleur qu’ils en ont oublié l’essentiel : secourir les «éventuels survivants» qui se trouvaient encore sur les lieux avant le gel de la scène de crime.» En effet, environ deux heures plus tard, une seconde petite fille vivante sera découverte prostrée dans la voiture, sous les jupes de sa mère.

 

 

Arrivée des trois techniciens de l’IRCGN sur les lieux du crime

 

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Les premiers gendarmes arrivés sur place, non formés en police criminelle, font rapidement appel aux techniciens en identification criminelle (TIC) départementaux. C’est ce que nous apprend Philippe Esperança, expert criminalistique et ancien gendarme de l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN).

 

Les TIC locaux entament le dégel de la scène de crime. Mais après leurs premières constatations,

ils se rendent compte de la complexité du massacre.

Par manque de temps et manque de personnels compétents pour passer au crible la scène, les experts demandent du renfort.

Le procureur de l’époque

Eric Maillaud demande donc l’aide de l’IRCGN.

 

Installés en région parisienne, l’Institut dispose de plus de matériels spécifiques et adaptés. Selon un article de Libération, trois TIC ont alors été héliportés sur les lieux à 22 heures, soit six heures après la découverte du massacre. Ces derniers ont immédiatement ont poursuivi le dégel de la scène de crime et référencé tous les indices laissés sur place.

 

Pour Philippe Esperança, la grande leçon à retenir de Chevaline est avant tout de vérifier l’état des victimes et de porter secours si besoin. Ce qui n’a pas été le cas à Chevaline par peur de polluer la scène.

“Porter secours est l’énorme priorité avant même l’analyse criminalistique. Cette analyse a pris tellement d’ampleur qu’ils en ont oublié l’essentiel : secourir les “éventuels survivants” qui se trouvaient encore sur les lieux avant le gel de la scène de crime.” En effet, environ deux heures plus tard, une seconde petite fille vivante sera découverte prostrée dans la voiture, sous les jupes de

sa mère.

Les premiers gendarmes arrivés sur place, non formés en police criminelle, font rapidement appel aux techniciens en identification criminelle (TIC) départementaux. C’est ce que nous apprend Philippe Esperança, expert criminalistique et ancien gendarme de l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN).